Conclusion
Ainsi, nous pouvons affirmer que le broutage a pris de l’ampleur en Côte d’Ivoire. En effet les brouteurs, toujours en quête d'innovation et d'ingéniosité, passent par plusieurs moyens pour procéder : les cyber-cafés, des tablettes, des téléphones portables. Ce qui rend leur appréhendement d'autant plus difficile pour les autorités ivoiriennes.
Néanmoins, certaines structures sont véritablement impliquées dans la luttre contre la cybercriminalité et mettent sur pied des opérations coups de poing dans l'optique d'une lutte efficace. Malheuresement cela demeure insuffisant pour radicalement stopper cette cyber-délinquance.
De ce fait, les autorités ivoiriennes doivent alors poursuivre l’identification des cybercafés et des personnes les fréquentant, l’identification des abonnés à des services opérateurs téléphoniques, le renforcement des moyens d’intervention des services chargés de la prévention, pour veritablement éradiquer ce fléau.